Rideau
Le
tumulte bleuté
De
l’été déchiqueté
S’électrise
par l’hiver embusqué
Déroulant
en bourgeons monstrueux
Son
chaos qui fracasse en jouissant
Il
égare et disperse
La
candeur de nos édifices
L’acide
fer-eau de l’orage
S’enroule
sur nos joues
Se
mélange au sel-cœur
Et
confie au passé
Le
fardeau de la lumière close
Et
fer-cœur qui s’étonne
De
regarder sel-eau s’éblouir
De
leurs chants à venir