Regardons l'horizon
Submerger nos envies
Pourquoi l'infini
Se rit-il de nos passions
Diluées dans l'absence
Elles nous hantent
Avec tant d'insistance
Quelles deviennent chancelantes
Pleurez pleurez nuées déferlantes
Sur l'Azur élimé de la fin de l'été
Qui verra la mort éblouissante
Du maître trahi mais aimé
L'amour profond de l'instant
Se blottit dans l'invisible chant
De la lumière calme du couchant
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