Le ciel opaque s’agace
D'écouter les complaintes
Germées d’inconsciences
Sur le cadavre des beautés
Ici n’est rien d’autre
Qu’arrogance déchue
Quand viendront inventer
En soleil d’âme, nos murmures de stupeurs
Alors qu’enfant je rêvais
Des étoiles en jardin sur mon œil
Je découvre l’éclat du voyage délicieux
Au cœur des vestiges lointains
Si le ciel s’agace, déception,
C’est pour mieux ignorer
Les complaintes stupides
Et laisser croître sur nos cœur
L’étrangeté de l’âme
Qui résume nos émois
Pour chanter à la face du monde
Le réveil de la beauté

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