Le
flot
Le
refrain des aubes qui traversent
Nos
Fenêtres
N’a
que faire des tracas parsemés
Sur
nos vies d’anges
Empêtrées
dans la canopées
Nous
voyons sur le fil de l’eau
Qui
s’échappe vers la mer
Défiler
en éclats moribonds
L’astre
qu dispense nos matières
De
la gloire horlogère
Qu’y
a-t-il dans ces débris perdus
Reflets
épars dans l’éther
Qui
contienne en essence
La
vérité de ce qui est
Fût
et serait
Alors
dansons dans l’écho encore lourdeur
De
la chute incroyable
De
chacune de nos folies
Pour
ouvrir en nos âmes
Les
portes scellées de nos rêve
D’autres
débris viendront alors joncher le sol
Pour
offrir à l’avenir
L’empreinte
folle du réel qui impose
D’invisibles
beautés
Sous
manteau d’amertume

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