Port d’âme
L’éclat
du ciel se dilate
Sur
l’obscurité âpre
De
la nuit sans lune,
Pour
s’étendre sur ma peau haletante
Des
effluves de nos rires
Et
l’azur hésitant,
De
répondre à nos joies
Qui
s’égrainent, fugaces,
Sur
le fil de l’horizon
Nos
regards avides s’égarent
En
contemplant l’épave de nos jours,
Envahie
de vers fébriles,
Qui
se muent sous le tranchant de l’âme,
En
jets de vérité
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