Illusions
L’obscurité bousculée chante
Tandis
que frémissent sous pensées
Les
bourgeons de mes sentiments
Qu’y
a-t-il au bout de la lettre
Qui
appelle la suivante du fond de mon âme
Elle
qui s’éveille en permanence
Dans
ce corps vagissant
De
n’être sur terre
Qu’une
note folle
Des
voix de l’univers
Alors
je festoie de regarder le temps
Se
suspendre dans le verbe
Qui
s’écoule à son tour
Pour
chanter ce que nous tait le jour
Quand
l’obscurité s’efface
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