Poussières lointaines
En ces lueurs éthérées
Qui déchirent la nuit
Je décèle le timbre
De mon âme engourdie
Comment lire le murmure
Qui voyage prudemment
Sur l’aride déception
De nos rêves d’enfant
Leurs merveilles délectables
Ne sont plus invitées
Qu’au banquets trop lointains
De nos anges déplumés
Et leur souffle de lever
Le voile terne pour laisser
S’éveiller le chant doux
De l’étoile révoltée
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire