La vielha
En soleil de maison
Je réjouis la saison
D'une braise vorace
Qui jamais ne se lasse
De livrer à la vieille
Impitoyable chasse
Tu occupes l'espace
Par le froid en merveille
Déroule ta cavale
Dans la pente aux arômes
Et claque en rafale
Sur le dos nu de l'homme
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